Le cancer des ovaires figure jusqu’à aujourd’hui parmi les maladies les plus difficiles à traiter. Ne montrant aucun symptôme qu’à une phase avancée, cette forme de cancer passe souvent inaperçue. Quand la patiente commence son traitement, les cellules cancéreuses atteignent déjà le système lymphatique ou les tissus environnants. Dans ce contexte, la souffrante a généralement peu de chances de survie d’autant plus que les soins dispensés ne sont pas infaillibles.
Dans tous les cas, cette forme de cancer est surtout meurtrière parce qu’elle ne manifeste aucun signe avant-coureur. Pendant les deux premières phases, la souffrante sentira une légère sensation d’inconfort au moment de se lever ou de s’asseoir. Elle pourrait éventuellement constater une perturbation du cycle menstruel ou des troubles de la vessie. La malade ne ressentira une vive douleur que vers la phase 3 ou 4 c’est-à-dire lorsque les cellules cancéreuses auront atteint les ganglions lymphatiques ou un organe voisin. À ce stade, les chances de rémission seront déjà relativement faibles.
Au vu de ces informations, il est clair que les femmes doivent rester prudentes. Elles ont tout intérêt à consulter un médecin dès qu’elles constatent un gonflement du ventre. Dans de nombreux pays, l’État oblige d’ailleurs ses citoyennes à passer quelques examens pour déceler la présence d’une tumeur au niveau des ovaires ou des seins.
Comme pour n’importe quelle forme de cancer, le traitement s’appuie principalement sur la chimiothérapie. Si la tumeur dépasse déjà une certaine taille, la patiente subira certainement une opération chirurgicale. Ceci étant fait, les médecins administreront toujours des agents chimiothérapeutiques pour se débarrasser des cellules malignes survivantes. Cette cure est cependant assez éprouvante pour les souffrantes. Il faudra s’attendre à plusieurs effets secondaires pouvant gravement affaiblir la personne concernée. Jusqu’il y a peu, les malades admis en soins palliatifs recouraient à la médecine douce pour apaiser leurs maux. Désormais, ils sont de plus en plus nombreux à s’orienter vers la phytothérapie. Dans ce domaine, les extraits naturels de Beljanski figurent parmi les produits les plus prisés. Ces suppléments diététiques contiennent des actifs anticancéreux. Formulées à partir de différents végétaux comme le gingko biloba ou le pao pereira, ces substances agiraient en parfaite synergie avec les agents chimiothérapeutiques. Elles affectent différents mécanismes biologiques pour atténuer les effets indésirables de la chimiothérapie et donc prévenir une perte de poids rapide. Avant d’opter pour un anticancéreux naturel, les souffrantes doivent cependant demander l’avis de leurs médecins. Cela permettra d’anticiper les éventuelles contre-indications et de prendre les meilleures décisions pour sa rémission.
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